
Une salle de théâtre noire. La scène est vide, à l’exception d’une petite valise bleue que la faible lueur de quelques projecteurs éclaire. Soudain, des projecteurs blancs s’allument, et entre Hime-Chan, en blouse blanche, les cheveux attachés en une queue de cheval très stricte. Elle traverse la scène d’une traite, l’air pressé. Puis elle revient au centre, à côté de la valise, en regardant vers les spectateurs.
Hime-Chan, gênée : Oh, c’est vous…
Elle cache dans son dos une calculatrice et une éprouvette.
...
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